Il suivait son idée, c'était une idée fixe et il s'étonnait de ne pas avancer.
Jacques Prévert

Allo, ben allo quoi ! T'es une fille ?
T'as pas de shampoing ?
Nabilla

"Les filles bien vont au paradis
Les mauvaises filles vont où elles veulent"
Anne Haunime






dimanche 23 novembre 2014

3 Ne pars pas avant moi. - Jean-Marie Rouart

    
                                               

Ne serait-ce que pour les quelques feuilles consacré à celui qui fait danser la vie, Jean d'Ormesson, il faut le lire.
Pour le reste ce n'est pas la modestie qui étouffe l'auteur. Il nous trimballe dans un milieu totalement hermétique au commun des mortels, celui des grands penseurs, aristo, grands patrons qui vivent "entre soi" on entrouvre et on a un peu la nausée, si ce n'est Jean d'O qui nous réconcilie avec ce "petit" grand monde.
Je n'ai pas retrouvé le plaisir que j'ai eu a lire JF Denieau ou J d'O qui chacun décrit ce lieu où tous se retrouvaient, l'un dans Tadjoura ou l'Ile Madame, l'autre dans C'est une chose étrange que le fin du monde. Sur cette terrasse, sous cet arbre, au soleil, prés des rochers et de la mer, et où ils palabraient sans fin....

3 commentaires:

  1. Je dirai même ne pars jamais Jean d'O tu nous manquera trop

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  2. Jean Marie Rouart est un héritier, on a exposé la collection de peinture des ses ancêtres depuis il a la tête enflée, il ne sait plus écrire..

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    1. Merci pour l'info. En effet il est issu d'une famille de peintres qui évoluait dans un milieu quand même privilegié même si il n'avait pas la même facon de vivre que les trés grands-bourgeois dont il fait état dans son ouvrage. Il est assez puant et se met trop en valeur.

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C'est à toi :

Et que le vaste monde poursuive sa course folle !
Cormac Mc Carthy - La route