Ne serait-ce que pour les quelques feuilles consacré à celui qui fait danser la vie, Jean d'Ormesson, il faut le lire.
Pour le reste ce n'est pas la modestie qui étouffe l'auteur. Il nous trimballe dans un milieu totalement hermétique au commun des mortels, celui des grands penseurs, aristo, grands patrons qui vivent "entre soi" on entrouvre et on a un peu la nausée, si ce n'est Jean d'O qui nous réconcilie avec ce "petit" grand monde.
Je n'ai pas retrouvé le plaisir que j'ai eu a lire JF Denieau ou J d'O qui chacun décrit ce lieu où tous se retrouvaient, l'un dans Tadjoura ou l'Ile Madame, l'autre dans C'est une chose étrange que le fin du monde. Sur cette terrasse, sous cet arbre, au soleil, prés des rochers et de la mer, et où ils palabraient sans fin....
Pour le reste ce n'est pas la modestie qui étouffe l'auteur. Il nous trimballe dans un milieu totalement hermétique au commun des mortels, celui des grands penseurs, aristo, grands patrons qui vivent "entre soi" on entrouvre et on a un peu la nausée, si ce n'est Jean d'O qui nous réconcilie avec ce "petit" grand monde.
Je n'ai pas retrouvé le plaisir que j'ai eu a lire JF Denieau ou J d'O qui chacun décrit ce lieu où tous se retrouvaient, l'un dans Tadjoura ou l'Ile Madame, l'autre dans C'est une chose étrange que le fin du monde. Sur cette terrasse, sous cet arbre, au soleil, prés des rochers et de la mer, et où ils palabraient sans fin....
Je dirai même ne pars jamais Jean d'O tu nous manquera trop
RépondreSupprimerJean Marie Rouart est un héritier, on a exposé la collection de peinture des ses ancêtres depuis il a la tête enflée, il ne sait plus écrire..
RépondreSupprimerMerci pour l'info. En effet il est issu d'une famille de peintres qui évoluait dans un milieu quand même privilegié même si il n'avait pas la même facon de vivre que les trés grands-bourgeois dont il fait état dans son ouvrage. Il est assez puant et se met trop en valeur.
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