Il suivait son idée, c'était une idée fixe et il s'étonnait de ne pas avancer.
Jacques Prévert

Allo, ben allo quoi ! T'es une fille ?
T'as pas de shampoing ?
Nabilla

"Les filles bien vont au paradis
Les mauvaises filles vont où elles veulent"
Anne Haunime






jeudi 30 décembre 2010

2 ~~~~~~~~~~~ En 2010 j'ai appris ~~~~~~~~~~


L’inquiétante rupture tranquille de Monsieur Sarkozy.

La France est elle prête à voter en 2007 pour un néo-conservateur américain à passeport français ? Les partisans du candidat de l’UMP jugeront la question provocatrice et y verront, à l’approche, de l’élection présidentielle, une caricature injuste, exacerbée par l’approche de l’élection présidentielle.
Alors, convenons-en d’emblée. Nicolas Sarkozy sera, pour la gauche, un adversaire redoutable même si son palmarès électoral est bien moins riche qu’on ne l’imagine.
L’homme ne manque ni d’idées, ni de force de conviction, ni de capacité de séduction. Son énergie, son culot, son aplomb, son ambition, sa soif inextinguible de reconnaissance sociale et de pouvoir, sa résistance à l’adversité sont légendaires.
Son supposé « parler vrai » (parfois son parler crû mais lorsque Sarkozy est grossier, il dit parler comme les Français), son sens de la formule, son insolence étonnamment juvénile en font un « bon client » pour les média audiovisuels.
Avec Nicolas Sarkozy, ils capteront toujours un mot, une image, un clin d’œil, une provocation pour le sacro-saint « 20 heures ». 
Orfèvre en communication méthodique et parfois impudique, l’homme a, de plus, su draper son implacable et froide quête du pouvoir dans une toge glamour (Nicolas-la-star-amie-des-stars y compris de celles dont l’exemplarité est discutable) sans laquelle il ne saurait –nous dit-on- y avoir de « saga politique » digne de ce nom.
Ce « sarko-show » est une arme de dissimulation massive, car celui qui ne cesse de prétendre vouloir « être jugé sur ses résultats » n’a pas son pareil pour masquer les piètres bilans de son action. Ceux d’un médiocre ministre de l’économie et des finances ou ceux d’un ministre de l’Intérieur survolté mais peu efficace : les violences faites aux personnes n’auront cessé d’augmenter en dépit de ses communiqués triomphants.
Mais l’échec n’atteint que rarement notre héros. Le plus souvent parce qu’il le noie dans le mouvement perpétuel : chaque fois qu’il se trouve en difficulté ou se voit obligé de se justifier de son action, le candidat de l’UMP se saisit d’un fait divers pour enfiler la combinaison qu’un Le Pen laisse parfois au vestiaire de « celui qui dit tout haut ce que les Français pensent tout bas ». Un jugement à l’emporte-pièce, une provocation suivie d’une polémique, le tout conclu par un sondage qui démontrerait que Sarkozy a les élites contre lui mais le peuple avec lui et le tour est généralement joué.
En cas de nécessité, si provocation et écran de fumée ne suffisent pas, Nicolas Sarkozy actionne le parachute de secours, celui de la défausse. Car celui qui se décrit comme un pieux catholique n’aime rien tant que battre sa coulpe sur la poitrine des autres : il n’est, par essence, jamais responsable. Ses erreurs, ses échecs ? C’est toujours la faute des autres. Non à Voltaire, rarement cité, mais à Chirac, à Raffarin, à Villepin etc, cibles sarkozyennes dont on se gardera cependant ici de prendre la défense véhémente. Ou en dernier ressort la faute aux juges. Glissements progressifs du volontarisme du Ministre de l’Intérieur. En 2002, il suffisait de lui donner les rênes de la police et de le laisser libre de mettre en œuvre une répression salutaire pour que l’insécurité soit enrayée. En 2006, le Ministre de l’Intérieur confesse son impuissance : son action remarquable est entravée par le laxisme des juges. Une seule conclusion s’impose : la vraie vie, celle de Nicolas Sarkozy bien sûr, mais aussi celle de la France, ne commencera qu’après son accession à l’Elysée. Ce document a le grand défaut de s’intéresser encore à la « France d’avant », celle où Nicolas Sarkozy peut encore être jugé sur ses actes et sur ses intentions déclarées, alors que lui ne se consacre plus qu’à la « France d’après », celle d’après le sacre selon lui annoncé.
Concurrent redoutable, donc, mais aussi respectable, citant ses sources d’inspiration, assumant jusqu’à l’automne 2006 tout à la fois son ambition et sa volonté de « rupture » avec un modèle français supposé exsangue, qu’il n’a cessé de caricaturer pour mieux le vilipender.
Le fait qu’au moment d’entrer en campagne électorale, lucide quant aux craintes que son tempérament et son improbable oxymore de « rupture tranquille » fait naître, Monsieur Sarkozy ait choisi de brouiller les pistes et de s’adresser à la « France qui souffre » ne doit pas faire illusion. L’infléchissement des discours indique seulement qu’après avoir été, avec l’appui (qui l’eût dit !) de François Fillon le fossoyeur du gaullisme social, le candidat de l’UMP s’est attaché provisoirement la plume –au demeurant talentueuse- d’un Henri Guaino que l’on avait déjà connu ardant dénonciateur de la « fracture sociale » en 1995. Le vernis ne tiendra pas. Car l’homme qui se dit pragmatique est d’abord un idéologue.
Respecter Nicolas Sarkozy, c’est se frotter à ses mots, à ses concepts, à leurs racines. L’homme n’est avare ni de discours, ni d’écrits. L’explorateur devra d’abord débroussailler l’accessoire : une littérature abondante consacrée au culte de soi, caractéristique d’un ego largement plus dilaté que la moyenne déjà élevée de ceux des hommes politiques ; il ne se laissera pas davantage abuser par ses revirements tactiques : le « pragmatisme sarkozyen » se nourrit de revirements spectaculaires comme en témoigne son reniement dans le dossier de la fusion Suez-GDF : après avoir s’être très solennellement engagé à ce que l’Etat ne privatise jamais GDF, le prétendant de la droite à l’Elysée n’aura pas attendu deux an








Bonjour je me
 présente
et vous comment 
ca va ?
dites moi tout
Ckan konvaou
la reine des reines
Moi super
génial trop la forme
Vous pareil ?
pas trop naze ?


Texte sur "La vision du monde dans l'Occident Médiéval"

La vision du monde avant l'ère chrétienne.
Depuis Eratostène, Aristote, Hiparque, Agricola, Ptolémée et Strabon personne ne doutait au siècle d'Auguste de la sphéricité de la terre. Dans sa représentation classique, elle était découpée en plusieurs bandes de même latitude, appelées par les Grecs "climats". Leur nombre était variable suivant les auteurs, mais tous étaient d'accord pour considérer que les bandes situées aux pôles étaient des terres trop froides pour être vivables et la bande équatoriale ("Pérousta") trop chaude. Entre les deux extrêmes se trouvaient dans chaque hémisphère des zones tempérées et habitables, même si seule la zone nord ("Oecumène") était peuplée. Elle avait la forme d'un rectangle allongé et arrondit, et se divisait en trois continents : l'Europe, l'Afrique et l'Asie. La lune, les étoiles et le soleil tournaient autour de la Terre.
Malgré les spéculations au-delà des terres connues et l'imprécision des mesures, la démarche des géographes visait à l'établissement de cartes précises par le recoupement des mesures, la géométrie et la trigonométrie. Bien avant Mercator, ils inventèrent la projection cylindrique du globe terrestre. L'approche était donc scientifique et sur la voie des progrès.
L'apparition du christianisme
La chrétienté naissante mit fin aux progrès de la cartographie apparus au cours de l'Antiquité et imposa sa propre vision du monde. La géographie cessait d'être une discipline à part entière et devenait un mélange confus de connaissances réelles et imaginaires au service de la religion. Même si elle tentait de se greffer aux conceptions ptoléméennes préexistantes (les mers, les océans, les continents...), elle oubliait tous les détails (les contours des côtes...) qui la rendait utile aux voyageurs, et elle fut renvoyée au rang de simple illustration du dogme religieux, désormais premier fondement de la nouvelle morale.
Les premiers grands théologiens (Saint-Augustin, Jean Chrisostome, Isidore de Séville, et surtout Cosmas d'Alexandrie au VIe siècle) proclamèrent bien haut que la Terre était plate. Il s'agissait surtout pour eux d'écarter une conception d'origine païenne en s'appuyant sur une traduction partisane d'une image donnée par St-Paul aux Hébreux. Mais cette idée d'une Terre ronde comme une roue ne perça pas totalement, et beaucoup de gens cultivés et réceptifs à la science arabe, continuèrent de la 


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A fabriquer des puzzles


preview15 piece
Ben oui tu peux pas éclater t'as pas le clic droit....
mais ça fonctionne crois moi
regarde comme c'est beau


tu vois j'ai même mis le "fantome" du sujet et l'image en encadré pour faciliter les choses
mais il faut demander.....

A personnaliser Ma réponse à Tes commentaires

Toi a dis : Quand tu écris, c'est gris

Moi a dis : Quand je te répond c'est rose... pour voir la vie pareil





et bien d'autres choses que j'ai déjà oubliées... héhé
etc...etc...etc...
toi tes trucs ???
c'est quoi ????????



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2 commentaires:

  1. Punaise, je suis jalouse, je ne sais pas faire ces trucs-là!!!!!
    Bon je n'ai pas cherché non plus!!!!!!!

    T'es trop forte!!!!

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  2. Ben dis donc : tu maitrises ! Hi hi !

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C'est à toi :

Et que le vaste monde poursuive sa course folle !
Cormac Mc Carthy - La route